RAFAEL NADAL (Espagnol)

Rappel du premier message :

 

US Open - Nadal adore Broadway et Phantom of the Opera
http://www.tennisactu.net/news-us-open-nadal-adore-broadway-et-phantom-of-the-opera-nadal-broadway-vanityfair-usopen-tennis-44540.html

 
On en apprend un peu plus sur les goûts de Rafael Nadal. L'Espagnol a révélé à Vanity Fair qu'il adorait aller à Broadway lorsqu'il se trouvait à New York. L'Espagnol est un grand fan de "Phantom of the Opera" (le fantôme de l'Opéra), la célèbre comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber. Il l'a vu sept fois selon ses dires. Les Misérables, Mamma Mia et le Roi Lion sont aussi appréciés par "Rafa", qui va devoir se coltiner un premier tour piège à l'US Open contre le crack croate de 18 ans Borna Coric (35e). Huitième mondial, Nadal est de retour à Flushing Meadows après son forfait de l'an passé (poignet droit). Il pourrait défier le numéro un Novak Djokovic en quarts de finale.

Source : http://rafaelnadalfans.com/2015/09/02/rafael-nadal-sport-style-lequipe-magazine-photoshoot/#jp-carousel-34461

L’Equipe’s Sport & Style magazine

Pas trop fan de la veste carreau

Par contre je suis sûre que tu es fan du caleçon Tommy Hilfiger , moi je préfère Rafa avec la veste à carreau

Si je te répond non, tu me crois

Bon pour la casse Nadal ? Oui, comme Federer il y a deux ans
Par Laurent Vergne
Dernière mise à jour il y a 47 minutes - Publié le 05/09/2015 à 12:15
http://www.eurosport.fr/tennis/us-open/2015/bon-pour-la-casse-nadal-oui-comme-federer-il-y-a-deux-ans_sto4896739/story.shtml

US OPEN 2015 – Flushing aura marqué pour Rafael Nadal une nouvelle désillusion. Sorti en 5 sets par Fabio Fognini, l'Espagnol est clairement rentré dans le rang cette année. Pour autant, il est encore prématuré de vouloir l'enterrer.

Evidemment, sachant comment tout cela s'est terminé, cela peut paraitre ridicule. Pourtant, 90 minutes après le début de ce match contre Fabio Fognini, quand Rafael Nadal déroulait tranquillement, avec ses deux sets et son break d'avance, j'avais déjà dans un coin de la tête un papier sur la première semaine convaincante de l'Espagnol. Je l'avais trouvé intéressant contre Coric. Fognini était un vrai test. S'il l'avait passé en trois sets, comme il était parti pour le faire, j'y aurais vu la confirmation, sinon d'un retour au premier plan, en tout cas d'une base intéressante pour la suite. Il était à nouveau plus dense, plus engagé. Et puis, patatras. 

Deux heures plus tard, Nadal est sorti du court Arthur-Ashe vaincu. Forcément, cela modifie un tantinet la perspective. Il est tentant d'y voir un nouveau symbole d'un déclin que certains voudraient sceller de façon définitive. Ils ont des arguments à faire valoir. Pas une seule demi-finale en Grand Chelem cette saison, pas un titre en masters 1000, etc. Tout le monde connait les statistiques, faiblardes à son échelle, du Nadal cuvée 2015.

Il a davantage payé ses errements des derniers mois que ses carences du jour 

Pourtant, sur sa semaine et même sur ce match, je trouve ça hâtif et injuste. Le Nadal d'il y a deux ans aurait-il perdu ce match ? Certainement pas. Mais le sport de haut niveau est subtil et complexe au niveau psychologique. C'est parce qu'il a affiché des faiblesses inédites ces derniers mois que Nadal se retrouve exposé simplement en concédant un débreak en début de troisième set. Son adversaire y voit le début d'une ouverture quand, jadis, il n'y aurait aperçu qu'un simple répit sans perspective. La donne a changé. 

Fognini y a tout de suite cru lorsqu'il a recollé dans le troisième. Cela s'est senti, au même titre que l'inquiétude de Nadal. Ce dernier a davantage payé ses errements des derniers mois que ses carences du jour. Il faut quand même souligner que, dans les trois derniers sets, l'Italien a évolué à un niveau stratosphérique. Nadal ne s'est pas liquéfié sur place. Je suis donc assez d'accord avec lui quand il dit : "je n'ai pas perdu ce match tout seul, c'est vraiment Fabio qui l'a gagné. Il a été incroyable". Un peu comme Rosol à Wimbledon en 2012. Face à un adversaire à ce point "dans la zone", il n'y a pas grand-chose à faire. A l'époque, on n'avait pourtant pas parlé d'un irrémédiable déclin. Nadal était revenu plus fort l'année suivante pour tout casser.

Federer aussi était devenu un bon à rien 

Je m'étonne toujours de la facilité et la vitesse avec lesquelles certains s'empressent d'enterrer des champions aussi colossaux. J'ai encore souvenir, en 2002, la façon dont tout le monde voulait expédier Pete Sampras à la casse après sa défaite au 2e tour contre George Bastl, à Wimbledon. C'était, il est vrai, presque pathétique pour le septuple maitre des lieux. Deux mois plus tard, il claquait son 14e et dernier titre majeur à l'US Open, pour sortir par la grande porte. Plus près de nous, Roger Federer était lui aussi devenu un bon à rien à l'été 2013. S'il avait écouté les mêmes oracles, il aurait rangé ses raquettes. Sur ce qu'il montre depuis deux ans, c'eut été dommage. 

Attention, je ne prétends pas que Nadal redeviendra numéro un mondial en 2016, qu'il effacera d'un revers de main ses difficultés actuelles. La nature de son cas est probablement plus complexe que celle d'un Federer. Le Suisse était lors de sa crise de 2013 gêné physiquement, au niveau du dos, notamment. Une fois débarrassé de ses soucis, il a pu se libérer à nouveau et son jeu moins exigeant l'autorise à rester performant à un âge avancé. J'ai toujours douté du fait que Nadal puisse durer longtemps au-delà de la trentaine, compte tenu de l'engagement physique qui est le sien sur chaque frappe depuis ses 18 ans.

L'envie est toujours là 

Mais paradoxalement, aujourd'hui, physiquement, il va bien. Et, encore une fois, tennistiquement, malgré son service déficient, il n'a pas touché le fond comme Federer avait pu le faire ici-même à Flushing il y a deux ans lors de sa défaite contre Robredo. A l'époque, le Suisse était sorti du court en qualifiant de "simplement nul" sa performance. Son problème, ces temps-ci, est d'abord d'ordre psychologique. Il l'a souvent dit, cette saison, il doute. Or il n'a jamais été habitué à douter. Pas durablement en tout cas. 

Il a pu, aussi, voir son irrépressible soif s'assécher par instants. Il l'a joliment reconnu après son match contre Fognini : "Pendant une période cette année, j'ai eu l'impression que j'avais perdu cette rage de vaincre, mais elle est bien là maintenant." C'est un immense défi qui s'ouvre devant lui. Un sacré chantier, aussi, aussi, car au-delà de l'aspect mental, je doute qu'il puisse s'exonérer pour passer la trentaine de certains évolutions, à défaut de révolution, dans son jeu. Nous y reviendrons. Je ne sais pas s'il a les outils pour s'en sortir, mais Nadal est un champion rare. Suffisamment pour respecter son passé, mais aussi son avenir.

Pour Rafael Nadal, c'est tristement historique
Par Laurent Vergne
Dernière mise à jour il y a 55 minutes - Publié le 05/09/2015 à 12:20
http://www.eurosport.fr/tennis/us-open/2015/pour-rafael-nadal-c-est-tristement-historique_sto4896735/story.shtml

US OPEN 2015 – Rafael Nadal a subi une défaite historique à plusieurs égards la nuit dernière face à Fabio Fognini.

Pas de titre en Grand Chelem cette saison... 

De 2005 à 2014, soit 10 saisons de suite, Rafael Nadal avait remporté au minimum un tournoi du Grand Chelem. Il faut dire que sur ces 10 saisons, l'Espagnol a déjà gagné Roland-Garros à neuf reprises. Ça aide. Et la seule fois où le tournoi parisien lui a échappé sur la période, en 2009, il a signé son unique victoire à l'Open d'Australie. Fin de série donc pour Rafa. ... 

Et même pas un quart de finale 

Connaitre une année blanche en Grand Chelem, sans le moindre titre, pourquoi pas. Ce qui frappe en revanche dans le bilan 2015 de Nadal dans les majeurs, c'est la faiblesse globale de celui-ci. Quart de finale à Melbourne et à Paris, 2e tour à Wimbledon et donc 3e tour ici à Flushing Meadows. Là encore, c'est la première fois depuis 2004 que Nadal n'atteint pas une seule fois les demi-finales. De 2008 à 2014, soit 7 saisons, Nadal n'est resté que 6 fois aux portes du dernier carré. Sur la seule année 2015, 4 fois... 

5 majeurs de suite sans voir les demies 

Wimbledon 2014. Australie, Roland-Garros, Wimbledon et US Open 2015. Lors des cinq derniers tournois du Grand Chelem auxquels il a pris part, Rafael Nadal n'a pas réussi à atteindre les demi-finales. Une telle série ne lui était arrivée qu'une seule fois dans sa carrière. C'était… lors des cinq premiers tournois majeurs de sa carrière: Wimbledon 2003, US Open 2003, Open d'Australie 2004, US Open 2004 et Open d'Australie 2005. S'il ne se hisse pas dans le dernier carré lors de sa prochaine participation en Grand Chelem, il établira un précédent. 

Perdre en ayant gagné les deux premiers sets, une première 

Jusqu'à ce match contre Fabio Fognini, Rafael Nadal n'avait jamais perdu en Grand Chelem après avoir mené deux sets à zéro. Il s'est retrouvé pour la première fois dans cette situation en 2003, à Wimbledon, face à Mario Ancic. Et il a gagné. Comme il a gagné 147 autres fois depuis, la dernière en date contre Diego Schwartzman au 2e tour de cet US Open. 

De 148-0, Nadal est donc passé à 148-1. Sur l'ensemble de sa carrière, toutes compétitions confondues, ce n'est que sa deuxième défaite dans cette configuration. La première, c'était à Miami, en finale, en 2005, face à Roger Federer. Nadal n'avait même pas encore inauguré son palmarès en Grand Chelem... Fognini a donc été à Nadal ce que Tsonga fut à Federer à Wimbledon en 2011. Le Suisse avait subi son premier échec en Grand Chelem après avoir mené 2-0. Pour lui, la série s'était arrêté à 178.

Bin, y'a des carrières ou des joueurs ne remporteront jamais un titre majeur et d'autres qui gardent le haut du podium plusieurs années de suite. Rafa, comme Roger, Nole sont de ceux-là !

tipou a écrit:

Si je te répond non, tu me crois

oui biensûr et ton nez il va s'allonger jusqu'où

J'aime bien cet article de Laurent Vergne et ça rejoint ce que je pense, Rafa doit un peu changer son jeu et pour cela il doit sortir de son cocoon car je pense personnellement que Toni n'a plus les armes pour aider Rafa. Ce n'est que mon avis mais ça semble se confirmer, il lui faudrait d'ailleurs un nouvel œil pour améliorer son service qui comme le dit Laurent Vergne est à nouveau défaillant. Bref c'est vrai que Rafa est un immense champion et qu'il a la capacité de revenir mais je pense qu'il ne reviendra pas s'il continue seulement à travailler dur et qu'il ne change rien d'autre.

C'est quand même rassurant de voir que Rafa a retrouvé sa rage de vaincre

Quoi qu'il arrive même s'il ne revient plus au top niveau il a un beau palmarès et il peut être fier et satisfait de sa carrière mais bon Rafa je te le dis si tu pouvais nous faire vibrer encore un peu ce serait bien non

DECLA • Nadal dévoile son programme
Par Loïc Revol, samedi 05 septembre 2015 à 10:12
http://www.welovetennis.fr/decla/103965-nadal-dvoile-son-programme

En conférence de presse, Rafael Nadal a dévoilé ce qui devrait être son programme pour la fin de saison (sauf changement) :

"Je vais probablement jouer la Coupe Davis (barrage de maintien en deuxième division), Pékin (ATP 500), Shanghai (Masters 1000), Bâle (ATP 500) et Paris (Masters 1000).

Destinée a écrit:

tipou a écrit:

Si je te répond non, tu me crois

oui biensûr et ton nez il va s'allonger jusqu'où

le décès du grand père de NADAL


R.D. | Manacor | 07/09/2015



David J. Nadal ‏@davidjnadal  1 minil y a 1 minute  
Don Rafael Nadal fue un gran músico, dirigió a grandes como Kraus, Matsumoto o Giacomini. 60 años de carrera
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[*]David J. Nadal ‏@davidjnadal  30 minil y a 30 minutes  
Ha muerto Rafael Nadal, abuelo de Rafa y padre de Toni Nadal y Miguel Angel. Un abrazo a toda la familia. EPD
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Dix choses que vous ignorez sûrement sur Rafael Nadal

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-sport/2013/06/09/dix-choses-ignorez-surement-rafael-nadal-243130

une partie de l'article

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Il n’a pas hérité du don de son grand-père pour la musique

Le tennisman a beaucoup d’admiration pour son grand-père, dont il a hérité du prénom. C’était un ébéniste fameux qui, dans les années 70, a fabriqué la moitié des sommiers des îles de Majorque, Minorque et Ibiza. Qui sait ? Peut-être que David Guetta dort l’été sur un lit made in Rafael Nadal.

Mais la vraie passion de papy Nadal, c’est la musique. A tout juste 17 ans, il dirigeait une chorale à Manacor et le chef de l’orchestre symphonique de Majorque lui a demandé d’interpréter la Neuvième Symphonie de Beethoven lors du plus grand concert des Baléares depuis la fin de la guerre civile. « C’était un jour très fameux dans l’histoire de l’île », croit savoir son petit-fils.

Malheureusement, ce goût de la musique s’est perdu dès la génération suivante, remplacé par l’amour du sport. Les parents du joueur, eux, ont créé une entreprise de vitrerie, Toni en est associé mais détaché pour entraîner Rafael.
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eh ben dis donc c'est vraiment une très mauvaise période pour Rafa , une bien triste nouvelle...

Oh une triste nouvelle

Nadal va assister La finale de l’EuroBasket entre l’Espagne et la Lituanie il est sur place à LILLE


La

finale de l’EuroBasket entre l’Espagne et la Lituanie, ce dimanche à Lille (19h), va attirer des personnalités.

http://rmcsport.bfmtv.com/basket/eurobasket-du-beau-monde-pour-la-finale-a-lille-916189.html

A Lille, beaucoup auraient préféré une affiche France-Serbie en soirée plutôt qu’en début d’après-midi. Mais ce France-Serbie ne sera « que » le match pour la 3e place ce dimanche (14h).

A 19h, l’affiche pour la finale de l’EuroBasket sera Espagne-Lituanie. Et il y aura quand même du beau monde.

Le roi d’Espagne avec Nadal et Navarro

Selon nos informations, le roi d'Espagne Felipe VI a affrété un jet privé afin de venir supporter la sélection espagnole en finale de l'EuroBasket au stade Pierre-Mauroy. A son bord, il y aura de nombreuses personnalités espagnoles, dont le tennisman Rafael Nadal et l’arrière barcelonais Juan Carlos Navarro, blessé et forfait pour cet Euro.

Tennis : Pour Nadal, Pau Gasol est «le symbole du sport espagnol»

http://www.le10sport.com/tennis/tennis-pour-nadal-pau-gasol-est-le-symbole-du-sport-espagnol204102

Rafael Nadal, présent lors de la finale de l’Eurobasket entre l’Espagne et la Lituanie (80-63), s’est montré particulièrement élogieux envers Pau Gasol.
Il y des joueurs, contre qui vous ne pouvez rien faire. Des joueurs touchés par la grâce, à qui tout réussit. Durant cet Eurobasket, Pau Gasol était l’un de ces joueurs. L’Espagnol a tout simplement offert le titre à la Roja à lui tout seul. Sa démonstration de force face à la France, avec 40 points marqués soit quasiment la moitié des points de son équipe, en est le parfait exemple. C’est n’est pas pour rien qu’il a été élu MVP (Most Valuable Player) de la compétition.
« GASOL EST UN EXEMPLE À SUIVRE »
Pau Gasol rayonne et son aura dépasse les frontières du basket, comme l’a si bien expliqué son compatriote Rafael Nadal. « Pau Gasol est un symbole pour le sport espagnol » a expliqué à MARCA le tennisman, présent ce dimanche lors de la finale de l’Eurobasket, entre l’Espagne et la Lituanie. « En le voyant jouer, on a l’impression qu’il possède cette force propre aux jeunes joueurs. C’est l’un des meilleurs tournois de sa carrière. Il est un exemple à suivre. Il a obtenu l’or et je suis sûr qu’il faudra compter sur lui pour les Jeux Olympiques ».

RAFA APPLAUDIT à LA VICTOIRE DES BASKETTEURS ESPAGNOLS  à LILLE -plusieurs selfies avec les joueurs
source:  https://www.facebook.com/InRafaWeTrust/photos_stream





The happy Rafa with Pau Gasol in Lille
RAFA aux côtés de PAU GASOL


avec
Juan Carlos Navarro