ROLAND GARROS 2016 : les infos

Malheureusement je n'ai pu voir aucun match donc je prie pour qu'il ne pleuve pas demain sinon je ne vais même pas pouvoir voir la finale . Finale inédite et qui me ravit, je pense que ça va être un grand match . Comme Tipou je vais soutenir Andy car il a moins de GC dans la poche mais bon j'apprécie aussi Nole

Andy, au vu de son parcours à Roland mériterait une victoire, il a quand même bien bataillé jusque là

tipou a écrit:

 Mahut

Roland-Garros (DH) «C'est une fierté, un soulagement», dit Nicolas Mahut, nouveau n°1 mondial du double
Le 04/06/2016 à 21:38:00 | Mis à jour le 04/06/2016 à 21:42:25
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Nicolas Mahut se hissera lundi au sommet de la hiérarchie du double. Il est le deuxième Français à occuper la place après Yannick Noah, en 1986.

Nicolas Mahut, numéro 1 mondial du double : «C’est une fierté, un soulagement. Ça change un peu tout. Même si ce n’est que du double, tu es le premier de ta discipline. Je ne vais pas faire la une des journaux, mais je sais ce que ça représente. Ça montre que tout ce que j’ai mis en place pour progresser, ça avait du sens. On ne comprenait pas pourquoi j’avais autant de personnes autour de moi, mais chaque personne que j’ai ajoutée m’a permis de voir plus loin. Même si je l’ai obtenue sans jouer, je m’en fiche. Qu’importe la manière, le classement reflète la réalité d’une saison. Maintenant que c’est fait, ça va nous libérer avec Pierre-Hugues (Herbert, son coéquipier en double). Inconsciemment, ça nous rajoutait de la pression. On peut repartir sur des objectifs de victoire en tournoi.»

Pauvre Nolette, elle se retrouve toute seule contre 3

c'est son champion à elle

Insolite : Ce que Novak Djokovic pourrait faire de plus pour l'amour du public français
Le 04/06/2016 à 20:30:00
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Depuis le début de la quinzaine, Novak Djokovic a multiplié les moments de partage avec les spectateurs de Roland-Garros. Que pourrait-il faire de plus pour se faire définitivement adopter par le public parisien ? Voici quelques suggestions, disons décalées.

Demander la nationalité française
Novak Djokovic est résident monégasque depuis de nombreuses années : et s’il venait payer ses impôts en France et optait pour la nationalité française ? Un choix radical, surtout pour le Serbe, attaché comme personne à ses racines, mais qui lui garantirait le soutien immédiat et inconditionnel du public parisien, électrique à souhait lorsqu’une de ses ouailles pénètre sur le court. Un gros plus non négligeable.

«Djoko» s’est déjà habitué au bleu, blanc, rouge, lors de la journée des enfants, le samedi précédant la quinzaine, en portant le béret et la moustache, et en s’essayant à la pétanque. Ses efforts d’intégration sont indéniables.

Faire un coeur sur la terre comme Kuerten
Cette année, le Serbe a déjà piqué à Andre Agassi sa mémorable célébration d’après-match, l’année de son titre à Roland-Garros, en 1999. Comme l’Américain, Djokovic salue les quatre tribunes après ses victoires, ajoutant sa petite touche personnelle en invitant à ses côtés un ou des ramasseurs à ses côtés. Un autre «copycat» au succès garanti pourrait être de dessiner un cœur, avec sa raquette, sur la terre de Roland. Cela avait contribué à gonfler la popularité en France de «Guga» Kuerten, l’année de son troisième victoire (2001).

Investir dans la formation française
Avec ses plus de 100 millions de dollars de gains en tournois amassés depuis le début de sa carrière, le numéro un mondial pourrait en investir une petite partie dans la formation française, qui se cherche encore une relève dans le sillage des Mousquetaires modernes. Sa générosité serait récompensée chaque année, juste avant l’été. Autre piste : devenir le conseiller spécial d’un espoir tricolore, et lui transmettre ses bonnes pratiques en matière de récupération, de diététique, d’entraînement, etc.

Perdre à nouveau en finale de Roland
La France aime les profils à la Poulidor, un peu moins les monstres de domination, type Merckx ou Armstrong. La solution, pour Djokovic, est assez simple, quoique difficile à adopter : il doit perdre pour la quatrième fois en finale de Roland-Garros, dimanche contre Andy Murray. L’ovation du public sera encore plus belle et émouvante que celle reçue l’an dernier, et sa cote grimpera un peu plus encore.

Changer de sponsor et opter pour le «Made in France»
Le Serbe a déjà fait un premier pas, en devenant ambassadeur de Peugeot début 2014. Il lui faut encore un peu plus afficher son attachement à la France, et si possible de façon bien visible, c’est-à-dire sur le court.

Qu’il rompe donc son contrat avec Uniqlo, qui a d’ailleurs eu l’outrecuidance d’aligner plus de billets pour Kei Nishikori, et porte à la place des polos Lacoste ou Le Coq Sportif, en mode «Made in France».

Rédaction

vaste programme

oui quel programme

Merci

C'est vrai que cette finale hommes est aussi incertaine que je suis certaine de la victoire de Djoko !
Plus sérieusement ! Andy peut gagner.

 

Oui du 50/50 aujourd'hui

Avant la finale de Roland-Garros, le duel Djokovic - Murray est déjà un classique
Le 04/06/2016 à 23:00:00
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Adversaires pour le titre à Roland-Garros, dimanche, Novak Djokovic et Andy Murray se sont déjà affrontés à six reprises en finale d'un Grand Chelem. Cette affiche est d'ailleurs la deuxième la plus fréquente de l'ère Open.

Novak Djokovic et Andy Murray s’affronteront pour la 34e fois en onze ans, la 16e fois en finale, dimanche. Mais à Roland-Garros, ce sera une première. Le Serbe mène 23-10 dans leurs confrontations et il a remporté quatre des six finales qu’ils ont jouées en Grand Chelem.

Mine de rien, c’est la deuxième affiche en finale la plus fréquente de l’ère Open, derrière Roger Federer-Rafael Nadal (huit), et à égalité avec Djokovic-Nadal. La finale de dimanche sera forcément historique, puisque aucun des deux n’a encore jamais triomphé Porte d’Auteuil. En attendant, retour sur leurs six finales précédentes en Grand Chelem.

Open d'Australie 2011 : Victoire de Djokovic (6-4, 6-2, 6-3)
Alors 4e mondial, Andy Murray se hisse pour la deuxième fois en finale d'un tournoi du Grand Chelem. Djokovic, lui, est 3e et, même s'il n'a plus battu l'Ecossais depuis l'Open du Canada en 2008, il va le balayer en trois sets.

Murray n'existe que dans la première manche, à l'issue de laquelle il offre la balle de set au Serbe au bout d'un échange de 39 coups. C'est suffisant pour mettre Murray hors jeu. Djoko remporte le match sur une 47e faute directe de Murray.

Djokovic : «C'est un grand match. Du premier au dernier point, j'ai fait ce que j'avais l'intention de faire tactiquement. Et physiquement j'étais au point, avec les deux jours de repos depuis ma demi-finale de jeudi. J'avais analysé son jeu. Il fallait rentrer dans le court. C'était ça, la clé.»


US Open 2012 : Victoire de Murray (7-6, 7-5, 2-6, 3-6, 6-2)
Pour remporter son premier tournoi du Grand Chelem, Andy Murray bataille 4h54' dans le vent pour faire craquer Novak Djokovic. Cette année-là, les deux joueurs se retrouvent pour la cinquième fois (sept fois au total). Murray prend les devants en remportant un premier set d'1h27', au bout d'un tie-break incroyable de 25 minutes. Il poursuit sur sa lancée en menant 4-0 dans le deuxième set, avant d'être rattrapé à cause de grosses fautes directes alors qu'il sert pour le set à 5-3.

Djokovic refait son retard mais Murray conclut avant un nouveau jeu décisif. Le Serbe se remobilise et empoche les deux sets suivants, mais l'Ecossais retrouve de l'efficacité au service et reprend le dessus dans le cinquième set.

Murray : «Avec des conditions de jeu pareilles, il faut se concentrer à fond sur chaque coup, tant la balle est dure à contrôler. Mentalement, c'était un vrai défi. (...) Cette finale a été incroyablement difficile. "Soulagement" est probablement le mot qui résume le mieux ce que je ressens. (...) Je n'ai pas vraiment pensé à mes finales précédentes. Je pensais plutôt à la situation présente.»


Open d'Australie 2013 : Victoire de Djokovic (6-7, 7-6, 6-3, 6-2)
Ce jour de septembre 2013, Murray se trompe de combat. L'Ecossais engage un duel physique et mental avec Djokovic et il tient seulement un peu plus d'un set. L'Ecossais s'est surestimé tandis que le Serbe, comme en mode pause au début du match, se réveille soudainement dans le deuxième set, éteignant rapidement les espoirs de Murray. Il a pourtant trois balles de 7-6, 2-0 et passe à deux points de mener deux manches à rien, à 7-6, 6-5.

Cette finale, tristement perdue par Murray, alors 3e mondial, n'a pas été d'un grand intérêt.

Djokovic :«C'était dur. Les deux heures et vingt minutes des deux premiers sets illustrent bien l'intensité du match. Mais je m'attendais à ça. Mon expérience m'a aidé mentalement avant cette finale. Je ne m'attendais pas à un match facile. Je savais que ce serait très physique, avec beaucoup de rallyes, et que je devrais m'accrocher. Aux troisième et quatrième sets, j'ai été plus audacieux et je suis venu plus souvent au filet. J'avais besoin de dicter le jeu.»



Wimbledon 2013 : Victoire de Murray (6-4, 7-5, 6-4)
Un an après sa finale perdue face à Roger Federer, Murray revient à Wimbledon où tout un peuple attend sa victoire, enfin. L'Ecossais sait se transcender face à la pression, profitant admirablement d'un Djokovic bien loin de son niveau.

Le Serbe n'y est pas du tout, alors qu'il mène 4-1 dans le deuxième set, puis 4-2 dans le troisième. Il sauve même deux balles de match, en écarta une troisième avant de se procurer trois balles de débreak. Mais Andy Murray claque un service gagnant, une attaque de coup droit et une volée parfaite pour dépasser la menace et entrer dans l'histoire, devenant le deuxième Britannique à remporter Wimbledon depuis Fred Perry en 1936.

Murray : «On ne peut pas imaginer combien tout cela est stressant. Les quatre ou cinq dernières années ont été éprouvantes. Les quelques jours avant que ne débute cette édition ont été difficiles. Les deux derniers jours n'ont pas été faciles. J'espère que tout va être plus facile désormais.»


Open d'Australie 2015 : Victoire de Djokovic (7-6, 6-7, 6-3, 6-0)
Cette finale, pleine de rebondissements, marque le début d'une saison incroyable de Novak Djokovic. Le Serbe et l'Ecossais luttent pendant 3h39' mais c'est dans les deux premiers sets que l'intensité est à son comble. Djokovic mène 4-1 dans le premier mais Murray s'accroche jusqu'au tie-break, où il commet trop de fautes et laisse la manche au n°1 mondial.

Scénario similaire dans le deuxième où, mené 4-2, l'Ecossais recolle et se procure même une balle de set à 5-4. Cette fois, il est le plus fort dans le jeu décisif, remporté au bout de 2h32' de jeu. Les deux derniers sets sont vite pliés par Djokovic (39 et 28 minutes).

Djokovic : «Il y a eu beaucoup de tournants dans ce match. Tout le monde s'attendait à une grosse bataille. Et finalement ça a été assez proche de notre finale de 2013, avec deux premiers sets très physiques, éreintants. J'ai réussi à écourter certains points et puis, à 2-0 pour lui dans le troisième set, j'ai su me remettre dedans mentalement.»



Open d'Australie 2016 : Victoire de Djokovic (6-1, 7-5, 7-6)
Après un premier set rapidement perdu 6-1, le même score que face à Nadal (finale de Doha) et Federer (demi-finale de jeudi dernier), Murray tient jusqu'à 3-3 avant d'être breaké, puis passe à deux points du set à 5-4. Dans le troisième, le Britannique, breaké, recolle encore à 3-3 mais s'effondre dans le tie-break avec deux doubles fautes. Le Serbe conclut d'un ace sur le T pour s'adjuger son sixième titre en Australie, son onzième en Grand Chelem.

Djokovic : «C'est un honneur d'être au même niveau que des légendes comme Björn Borg et Rod Laver au nombre de titres en Grand Chelem. Je vous mentirais si je vous disais que je n'y ai pas pensé. Depuis quinze mois, je joue le meilleur tennis de ma carrière.» 

Annabelle ROLNIN, à Roland-Garros

Roland-Garros : Ce qu'ont à gagner Novak Djokovic et Andy Murray
Le 05/06/2016 à 08:00:00 
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Novak Djokovic et Andy Murray se retrouvent dimanche en finale de Roland-Garros pour un 34e duel (23 victoires-10 défaites en faveur du n°1 mondial). Les enjeux sont multiples pour le Serbe (surtout) et pour l'Ecossais. Tour d'horizon.

POUR ANDY MURRAY
Le deuxième Britannique à gagner Roland-Garros
En dominant Stan Wawrinka, vendredi en demi-finales, Andy Murray a complété son Grand Chelem… de finales (5 à l’Open d’Australie, 1 à Roland-Garros, 2 à Wimbledon et 2 à l’US Open). L’Ecossais est le troisième Britannique en finale de Roland, après Fred Perry (1935 et 1936) et Bunny Austin (1937), et peut devenir le deuxième joueur british à gagner sur la terre parisienne, 81 ans après Perry.

Un troisième Majeur
Andy Murray aborde sa dixième finale de Grand Chelem avec un bilan négatif (2 succès, US Open 2012 et Wimbledon 2013, 7 défaites). En cas de troisième titre, il rejoindrait Arthur Ashe, Jan Kodes et Gustavo Kuerten au palmarès, en 18e position dans l’ère Open.

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En désormais dix finales de Grand Chelem, Andy Murray n'a jamais eu à jouer un joueur classé au-delà de la troisième place mondiale (7 fois Djokovic, 3 fois Federer). C'est arrivé cinq fois à Nadal (20 finales), six fois à Djokovic (20 finales), et quatorze fois à Federer (27 finales).


POUR NOVAK DJOKOVIC
Son premier Roland-Garros
La douzième participation à Roland-Garros sera-t-elle la bonne ? A 29 ans, Novak Djokovic court toujours après son premier triomphe parisien, malgré une exceptionnelle régularité dans l’épreuve : deux quarts, quatre demies et désormais quatre finales (cinquième total de l’ère open), après 2012, 2014 et 2015. Avec 53 victoires Porte d’Auteuil, le Serbe a même le quatrième meilleur total de succès, derrière Nadal (72), Federer (65) et Vilas (58). Il est celui qui a le plus souvent gagné sans jamais avoir vu son nom apposé au sommet du court n°1. 

Un Grand Chelem en carrière
«Djoko» peut devenir le huitième joueur de l’histoire à gagner au moins une fois chacun des quatre Grands Chelems, après Andre Agassi, Donald Budge, Roy Emerson, Roger Federer, Rod Laver, Rafael Nadal et Fred Perry. Le dernier à l’avoir réussi, c’était Nadal à l’US Open 2010. Le Serbe serait le plus vieux à rejoindre ce cercle très fermé, à 29 ans et 14 jours, juste après Andre Agassi (29 ans et 38 jours, lors de la finale de Roland-Garros 1999). A titre de comparaison, Nadal l’a fait à 24 ans et 101 jours, Federer à 27 ans et 203 jours.

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Quatre des sept actuels détenteurs d'un Grand Chelem en carrière ont réalisé cette performance à Roland-Garros : Perry en 1935, Budge en 1938, Agassi en 1999 et Federer en 2009.

Un Grand Chelem à cheval sur deux ans
Le numéro un mondial se retrouve ce dimanche dans la même position qu’il y a quatre ans, après avoir gagné Wimbledon et l’US Open 2011, puis l’Open d’Australie 2012. Il avait échoué à réussir le fameux quadruplé, en s’inclinant en finale de Roland contre Rafael Nadal.

S’il réussit un «Djoko Slam», à savoir gagner les quatre Majeurs à cheval sur deux saisons, Djokovic réalisera une performance unique, jamais réalisée par Roger Federer ou Rafael Nadal. Avant lui, le seul, dans l’ère Open à avoir glané quatre Grands Chelems en enfilade, c’est Rod Laver, sur la seule année 1969 (Grand Chelem calendaire, le «vrai»). 


Un douzième Grand Chelem
Djokovic vise un sixième Majeur en un peu moins de deux ans (depuis Wimbledon 2014), le douzième de sa carrière, ce qui le placerait à hauteur de Roy Emerson. Il ne serait plus qu’à deux longueurs de Rafael Nadal et Pete Sampras (14), et à cinq du recordman, Roger Federer (17).


Le doublé Open d’Australie-Roland-Garros
Le Belgradois peut être le onzième à faire le doublé Open d’Australie-Roland-Garros, le premier depuis 24 ans et Jim Courier (1992).

Fabien MULOT, à Roland-Garros

Tennis - Roland Garros : Djokovic, Murray... Le pronostic de Yannick Noah avant la finale !
Publié le 4/06/2016 à 23:35 par J.-G.D.
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Alors que Novak Djokovic et Andy Murray tenteront dimanche de remporter Roland Garros pour la première fois de leur carrière, Yannick Noah s'est penché sur cette finale.

Malgré leur statut de star internationale dans le monde du tennis, Andy Murray et Novak Djokovic n’ont jamais accroché un titre à Roland Garros. Ce sera désormais chose faite pour l’un d’eux avec cette finale opposant le Serbe et l’Écossais dimanche après-midi. Dans des propos accordés à RMC, Yannick Noah, capitaine de l’équipe de France de Coupe Davis, se prononce sur cette rencontre. 

« Je peux pronostiquer que ça va être un beau match »

« C'est une opposition de style. Djoko joue un très bon tennis, mais les conditions ne lui sont pas très favorables. Je pense qu'il est meilleur dans les conditions où les balles sont rapides, quand il fait chaud. C'est un joueur très solide, complet, c'est le numéro un mondial qui joue contre Murray qui est surprenant. Surprenant par ses choix tactiques. Il apprivoise la terre battue, il joue vraiment comme un joueur de terre battue en variant beaucoup les effets et en déstabilisant les autres. Il va faire sortir Djoko de sa routine. Murray va prendre des risques. Il y aura peut-être du déchet. Mais s'il continue à s'améliorer comme il le fait depuis le début du tournoi, ça va être très dur de le battre. Mon pronostic ? Je ne joue jamais. Ça va être un beau match que je vais regarder. Depuis quelques années je ne regardais plus forcément la finale. Une fois que tu avais vu un set, tu avais vu tout le match. Il va y avoir des rebondissements, des changements tactiques. Au niveau du spectacle, ça va être super. Je peux pronostiquer que ça va être un beau match », estime Yannick Noah.

J'ai repassé mon maillot de supportrice

Allez la France............ Euh........... Allez Andy et Novak, vous n'allez pas
nous décevoir, c'est sûr !

UN ROLAND-GARROS SANS NADAL, C’EST COMME…
par Jean Baptiste Baretta, le 28 mai 2016
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LA PLUIE S’ABAT CE SAMEDI SUR ROLAND-GARROS. LE CIEL PLEURE CERTAINEMENT LE FORFAIT DU NONUPLE LAURÉAT DU TOURNOI, RAFAEL NADAL. UN ROLAND-GARROS SANS NADAL, CE N’EST PLUS TOUT À FAIT UN ROLAND-GARROS. LA PREUVE.
 

Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme un Wimbledon sans Roger Federer

Si son dos le lui permet, Roger Federer va tenter de remporter un 8e Wimbledon en juillet.

Depuis 1999, Roger Federer n’a pas raté une levée du Grand Chelem londonien. Un tournoi auquel il a participé 17 fois, qu’il a remporté sept fois et où il a joué trois autres finales. On n’ose imaginer une édition 2016 sans lui. Son forfait à Roland-Garros pour blessure au dos ne garantit rien.


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme un Open d’Australie sans soleil

Chaque année, les températures à l’Open d’Australie dépassent régulièrement les 40°C. Les joueurs font alors tout pour faire baisser la température. Même sans canicule, Melbourne reste un endroit gorgé de soleil, idéal pour profiter du tennis en plein air.


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme un US Open sans night-session

La night session fait partie du folklore de l’US Open. Du bruit, des spectateurs qui exultent si le match devient fou. Une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie !! Bigger than tennis, c’est dire !


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme Bob sans Mike Bryan

Les jumeaux américains sont inséparables et ne disputent, depuis quelques années, que le double ensemble. Avec succès puisqu’ils ont remporté 112 tournois ensemble dont 16 titres du Grand Chelem. Savez-vous les reconnaître individuellement ?


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme Richard Gasquet sans son revers

Personne n’imagine un jour Richard Gasquet privé de son incroyable revers, l’un des plus beaux de la planète.  Gasquet avec un revers à deux mains ? Gasquet qui ne ferait que des coups droits ? Non !


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme l’équipe de France sans Yannick Noah

Pour la troisième fois de sa vie, Yannick Noah est redevenu capitaine de l’équipe de France de coupe Davis l’an dernier. Attendu comme le messie, le vainqueur de Roland-Garros 1983 a passé le 1er tour face au Canada en Guadeloupe. Portera-t-il ses joueurs jusqu’à la victoire finale en 2016 ?


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme Björn Borg sans bandeau

Björn Borg sans son bandeau blanc pour soutenir sa tignasse blonde ? Il est sur toutes les photos ! On ne l’imagine même pas…


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme Andy Murray sans ses « fuck »

F..., F..., F... il ne vaut mieux pas traduire ce que raconte Murray sur le court !

On ne vous apprend rien, Andy Murray est du genre sanguin sur le court. Son « toc » à lui, dire « fuck » à tout bout de champ. Parfois en se cachant, parfois non. Amélie Mauresmo n’a-t-elle pas dit que son ancien poulain était un joueur « complexe »…


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme Maria Sharapova sans cri strident

Les cris de Maria Sharapova ont un jour été « contrôlés » à 109 décibels, presque autant qu’un marteau-piqueur ou un concert de rock. Mais avouons-le, ils nous manquent ces cris de la Russe, actuellement suspendue en attendant son jugement pour dopage. Pas vous ?


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme Mattek-Sands sans ses chaussettes jusqu’aux genoux

Le look de Bethanie Mattek-Sands est plus que spécial, on vous le concède.

Bethanie Mattek-Sands a-t-elle du goût ? On vous laisse répondre à cette question. Ce que l’on peut vous dire, c’est que l’Américaine aime se démarquer avec son look très souvent extravagant. Habillée comme un joueuse lambda, ce ne serait plus Mattek-Sands.


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme un match de Safin sans raquette cassée

1700 raquettes cassées par Marat Safin ! Un record. 

Numéro 1 mondial du cassage de raquette, le Russe aurait brisé 1055 cadres en 689 matches officiels durant toute sa carrière, soit une moyenne d’1,5 raquette par match. L’ATP lui a même décerné un trophée pour cet « exploit ».


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme un match de Paire sans amortie

Fantasque, Benoît Paire l’est. Sur le court, ses adversaires ne savent jamais à quoi s’attendre et il faut bien reconnaître qu’il touche en général très bien ses amorties. Surtout quand il est inspiré !


Un Roland-Garros sans Nadal, c’est comme une tribune présidentielle sans siège vide

Tant de sièges vides en tribune présidentielle. Quelle désolation...

A l’heure du déjeuner (mais pas seulement), il n’est pas rare que la tribune présidentielle de Roland-Garros (ou des autres Grands Chelems) soit quasi-vide. Dommage quand on sait que d’autres seraient prêts à vendre père et mère pour assister aux matches en tribunes…

A vous de jouer sur les réseaux sociaux avec le hashtag #rgsansnadal

"Je joue avec Nadal et Federer"
Par Thomas Siniecki , à Paris
Publié le 3 juin 2016 à 12h06
Mis à jour le 3 juin 2016 à 18h06
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Thibault Venturino, 27 ans, est sparring-partner à Roland-Garros. Il vit un rêve depuis deux ans, puisque c'est lui qui est choisi très régulièrement (pour ne pas dire tout le temps) par Roger Federer, Rafael Nadal ou Novak Djokovic. Pour ne citer qu'eux...

Thibault, qui êtes-vous ? Racontez-nous votre histoire.
Je suis sparring-partner à Roland-Garros et Bercy. J’ai commencé officiellement avec la FFT depuis Bercy 2014. Avant, c’était un peu à l’arrache, on m’appelait quand j’étais disponible car je connaissais quelques personnes à la Fédération, et vu que je suis sur Paris... C’est plus organisé depuis Roland-Garros 2015, où des sparrings sont mis à disposition de manière officielle et organisée. J’avais commencé en 2007, en tapant une semaine avec Hantuchova et deux semaines avec Venus Williams. Jusqu’en 2015, j’ai enchaîné comme ça entre Coubertin et Roland-Garros. En France, je suis -15, et 863e joueur mondial. Tout ça me fait forcément progresser, on s’adapte et on s’habitue à l’intensité.

Alors, depuis deux ans, avec qui jouez-vous ?
Rafael Nadal, Roger Federer, Novak Djokovic, les frères Bryan, Jo-Wilfried Tsonga… Tout avait commencé à Bercy 2014, j’étais le seul dispo. Il y avait aussi David Ferrer ou Kei Nishikori… Ils me reprennent souvent, s’ils n’ont pas de joueur à eux dans leur équipe. C’est assez gratifiant. Des millions de personnes seraient prêtes à me poignarder pour prendre ma place ! Je suis un passionné de tennis, j’en profite à fond. La première fois avec "Rodgeur", sur ce Bercy 2014, j’étais comme un dingue, hystérique. C’est toujours incroyable, toujours énorme. On se dit qu’on est en train de parler avec le meilleur joueur de tous les temps, je suis comme un gamin de huit ans.

Concrètement, quelles différences de niveau ressentez-vous ?
On ne pratique pas le même sport. Je me mets trois mètres dans le terrain pour envoyer des premières à "Djoko", je ne lui dis pas où je sers... Et sur 100 retours, il va m’en mettre 99 dans la lucarne ! Rien que ça, je trouve que c’est énorme, inhumain. C’est une machine. On se demande comment il fait pour travailler son œil et cette vitesse de réaction à ce point. Je veux bien que ça se travaille, mais comment fait-il à ce point-là ? C’est n’importe quoi ! Je joue avec tous depuis un an et demi, mais lui et les frères Bryan, leurs retours de service, je ne comprends pas. C’est tellement précis, à une vitesse énorme… C’est dingue que des mecs puissent les battre.

"Rafael Nadal s'est présenté"

Et Rafael Nadal ?
Il met une intensité hors du commun, c’est terrible. Il se met à 200% à chaque fois. Moi, si je me mets dans cet état-là, je suis carbonisé au bout de 10 minutes. C’est un bourreau de travail. Il frappe tellement fort que c’est dur à contrôler. Mais pour un échauffement de 30 minutes, les joueurs ne demandent pas énormément… C’est moi qui me mets de gros objectifs, je suis obligé d’être à 200% car sinon, je ne serai jamais concentré. Le seul avec qui j’ai fait trois jeux, c’est "Rodgeur" à Bercy 2015. Mais les mecs savent qu’on est des sparrings, ils ne se prennent pas trop la tête. Il faut juste que la balle revienne avec un minimum de qualité.

Lequel est le plus sympa entre "Djoko", "Rodgeur" et "Rafa" ?
Les trois sont cool. J’adore "Rodgeur", mais Rafael Nadal, c’est un respect extraordinaire. Quand "Rodgeur" arrive, il dégage un truc énorme et tout le monde se tait. "Rafa" aussi, mais il est beaucoup plus abordable. Quand on le voit, il est un peu timide, il reste un peu à l’écart, il ne veut pas déranger. C’est assez rigolo, il a gagné neuf fois Roland-Garros et il n’ose pas déranger les filles au comptoir pour demander des balles… Pourtant, si quelqu’un est dans sa maison, c’est bien lui ! L’an dernier, il est arrivé légèrement en retard sur le terrain, c’était la première fois que je jouais avec lui. Il m’a dit qu’il était désolé et il s’est présenté. Bon, il n’avait pas forcément besoin (sourire)…

Vous aviez encore tapé avec lui la veille de son forfait…
Oui, je l’avais échauffé avant sa dernière victoire jeudi. Je le voyais jouer avec un bandage, mais je ne pensais pas que ce serait à ce point-là, je ne me doutais pas que ce serait aussi grave. Je me concentre tellement sur moi, je ne fais pas trop gaffe… Mais c’était un gros coup de massue, le tournoi ne ressemble plus à rien. C’est une hécatombe, c’est terrible.

Enfin, vous êtes effectivement le sosie officiel de Christophe Jallet, comme plusieurs tweets l'ont déjà fait remarquer !
Un de mes meilleurs potes a notamment vu le tweet d’un journaliste de RMC, il pleurait de rire. J’avais les cheveux longs, mais quand j’ai commencé à me dégarnir légèrement, je me suis rasé la tête. C’était il y a six mois. Je m’en doutais, j’en ai pris dans tous les sens ! Même dans la rue, avant PSG-Chelsea cette année, des gamins m’ont arrêté alors que je promenais mon chien (sourire). Quand je leur ai dit que ce n’était pas moi, ils pensaient que je me foutais d’eux ! C’est vrai que je lui ressemble beaucoup. Il faudrait que je le rencontre ! Si jamais lui aussi déclare forfait pour l’Euro 2016, je peux le remplacer, on n’y verra que du feu ! Bon, je joue mieux au tennis qu’au football…

Nolette a écrit:

C'est vrai que cette finale hommes est aussi incertaine que je suis certaine de la victoire de Djoko !    
Plus sérieusement ! Andy peut gagner.  

trop drôle le Un RG sans Nadal c'est comme

bel article merci tipou

Roland-Garros junior : le titre pour le Français Geoffrey Blancaneaux
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Le 05/06/2016 à 15:22:00 | Mis à jour le 05/06/2016 à 16:00:47 |

Geoffrey Blancaneaux s'est imposé dans le tableau junior de Roland-Garros ce dimanche. Le Français a triomphé de Félix Auger-Aliassime en trois manches (1-6, 6-3, 8-6), non sans avoir sauvé trois balles de match.

Exceptionnelle performance de Geoffrey Blancaneaux ! Le Français de 17 ans a remporté le tournoi junior de Roland-Garros ce dimanche, après son succès en 3 manches (1-6, 6-3, 8-6) sur le prodige canadien Félix Auger-Aliassime. Le Tricolore a fait preuve d'un mental d'acier pour l'emporter, en sauvant 3 balles de match. Il succède à Gaël Monfils, vainqueur en 2004, au palmarès français des Internationaux de France.

La partie était plutôt mal embarquée. Débordé, impuissant et peu efficace dans une première manche perdue 6-1 en une vingtaine de minutes, Geoffrey Blancaneaux n'a pas abdiqué. Le Français s'est ressaisi d'entrée de deuxième set en breakant son adversaire, 15 ans et déjà 619e mondial. Un set maîtrisé qu'il s'adjuge 6-3 sous les encouragements d'un court n°1 de plus en plus garni.

Le dernier acte offre un scénario à rebondissements aux spectateurs. Poussé par les «Geoffrey ! Geoffrey !», Blancaneaux breake le premier et mène 3-2. Débreak immédiat de la part de Félix Auger-Aliassime. Un duel des nerfs s'ouvre. Le Canadien fait la course en tête (6-5) et se procure trois balles de match sur le service tricolore. Toutes sauvées. Sur le jeu suivant, le Bleuet, lui, ne rate pas le coche. Il convertit sa seule balle de break et prend la tête (7-6). Au moment de servir pour le titre, il ne tremble pas. C'est par un jeu blanc et un ultime coup droit gagnant long de ligne, comme la veille en demi-finale, qu'il conclut la partie. De quoi voir l'avenir du tennis français avec un peu plus garni.

Le dernier acte offre un scénario à rebondissements aux spectateurs. Poussé par les «Geoffrey ! Geoffrey !», Blancaneaux breake le premier et mène 3-2. Débreak immédiat de la part de Félix Auger-Aliassime. Un duel des nerfs s'ouvre. Le Canadien fait la course en tête (6-5) et se procure trois balles de match sur le service tricolore. Toutes sauvées. Sur le jeu suivant, le Bleuet, lui, ne rate pas le coche. Il convertit sa seule balle de break et prend la tête (7-6). Au moment de servir pour le titre, il ne tremble pas. C'est par un jeu blanc et un ultime coup droit gagnant long de ligne, comme la veille en demi-finale, qu'il conclut la partie. De quoi voir l'avenir du tennis français avec un peu plus d'optimisme.
Exceptionnelle performance de Geoffrey Blancaneaux ! Le Français de 17 ans a remporté le tournoi junior de Roland-Garros ce dimanche, après son succès en 3 manches (1-6, 6-3, 8-6) sur le prodige canadien Félix Auger-Aliassime. Le Tricolore a fait preuve d'un mental d'acier pour l'emporter, en sauvant 3 balles de match. Il succède à Gaël Monfils, vainqueur en 2004, au palmarès français des Internationaux de France.

La partie était plutôt mal embarquée. Débordé, impuissant et peu efficace dans une première manche perdue 6-1 en une vingtaine de minutes, Geoffrey Blancaneaux n'a pas abdiqué. Le Français s'est ressaisi d'entrée de deuxième set en breakant son adversaire, 15 ans et déjà 619e mondial. Un set maîtrisé qu'il s'adjuge 6-3 sous les encouragements d'un court n°1 de plus en plus garni.

Le dernier acte offre un scénario à rebondissements aux spectateurs. Poussé par les «Geoffrey ! Geoffrey !», Blancaneaux breake le premier et mène 3-2. Débreak immédiat de la part de Félix Auger-Aliassime. Un duel des nerfs s'ouvre. Le Canadien fait la course en tête (6-5) et se procure trois balles de match sur le service tricolore. Toutes sauvées. Sur le jeu suivant, le Bleuet, lui, ne rate pas le coche. Il convertit sa seule balle de break et prend la tête (7-6). Au moment de servir pour le titre, il ne tremble pas. C'est par un jeu blanc et un ultime coup droit gagnant long de ligne, comme la veille en demi-finale, qu'il conclut la partie. De quoi voir l'avenir du tennis français avec un peu plus d'optimisme.

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Y a t-il plus belle émotion que de gagner Roland-Garros quand on a 17 ans?[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], vainqueur de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] juniors! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

une bonne nouvelle