ROLAND GARROS 2014 : les infos

Destinée a écrit:

tipou a écrit:

Je suis super contente de voir que Rafa est passé     apparemment il a chaussé son niveau de jeu   donc le dos tiens pour l'instant.
Dommage Gaël, tu as fait un beau parcours quand même 

C'est surtout David qui a tellement donné au premier qu'ensuite il n'a pas tenu. Quand à son dos il ne force toujours pas sa deuxième donc   mais en tout cas ce n'est pas avec ce que j'ai vu là qu'il peut battre Djoko   parce que Djoko lui contrairement à David il peut tenir et être agressif plus longtemps. Non Rafa doit encore augmenter son niveau sinon ça ne passera pas face à Nole, enfin ce n'est que mon avis  . Surtout que Andy joue très bien donc le match va être dur et long   ...enfin bon une chose à la fois et puis c'est vrai que c'est en 5 sets donc ça c'est un plus pour Rafa

Ah d'accord merci Destinée  

 aux gagnants du doubles mixtes

 des français en finales doubles

 Gulbis   et Rafito

tipou a écrit:

 aux gagnants du doubles mixtes

 des français en finales doubles

 Gulbis   et Rafito

ça me plairait de voir une finale Gulbis Nadal   

Moi aussi   mais aussi dangereux que Djoko pour Rafa avec ces coups bien plat

Roland-Garros 2014: Pour son oncle, Rafael Nadal «sait se mettre au niveau de l’adversaire»
Créé le 05/06/2014 à 16h01 -- Mis à jour le 05/06/2014 à 17h31
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TENNIS - L’entraîneur du numéro un mondial est confiant sur les chances de son neveu de gagner une neuvième fois le tournoi…
De notre envoyé spécial à Roland-Garros,
 
La peau tannée par le soleil des Baléares et sa casquette Iberostar bien vissée sur le crâne, Toni Nadal, inusable, regarde son neveu enchaîner les coups droits gagnants lors de son entraînement matinal sur le court numéro 12 jeudi. Comme l’ensemble des suiveurs présents le long de la main courante, l’entraîneur du numéro un mondial peut constater qu’il n’a pas trop de soucis à se faire. Impérial depuis le début de la quinzaine, Rafael Nadal abordera sa demi-finale face à Andy Murray en grande forme. Entretien.

Est-ce que vous êtes satisfait du niveau de jeu de votre neveu pour le moment?
Je suis satisfait de son parcours. Rafael tape très bien à l’entraînement, il a fait quelques bons matchs aussi. Le revers l’a un peu lâché lors des premiers jeux face à Ferrer, il s’est un peu crispé, mais ça s’est bien terminé.

Hormis pendant un set, contre Ferrer, il n’a pas eu à se tester beaucoup depuis le début du tournoi. Vous trouvez ça dommage?
C’est vrai que le tableau de Rafael a été plutôt clément, ce serait difficile de dire le contraire, mais il n’a pas joué contre n’importe qui non plus. Thiem, c’est un joueur prometteur, Mayer, il faut se le coltiner sur terre… Il s’en est bien sorti sur les premiers tours, alors qu’on a toujours beaucoup de problèmes la première semaine. Je me souviens de matchs très mauvais lors des premiers tours sur la Lenglen contre Mina, Devilder, Andujar… Andujar, on avait eu de la chance de jour là. Cette année c’était mieux, on ne va pas s’en plaindre.

Le dos de «Rafa» va mieux?
Il a pu servir plus fort contre Ferrer. Ce n’était plus une contrainte comme lors des premiers tours, où il y est allé très précautionneusement. C’était une crainte contre Ferrer, mais il a servi à un niveau acceptable. Murray [son adversaire en demi-finale] retourne tout, même s’il ne te met pas nécessairement sous pression à chaque fois. Il faudra bien servir pour gagner.

Mais Andy ne l’a jamais battu sur terre battue. Ca vous met en confiance?
Contre Murray, ça dépend toujours de son niveau. Si c’est le meilleur Murray, celui de Rome, il faudra jouer mieux que ce qu’on a fait depuis le début du tournoi. Mais Rafael sait se mettre au niveau de l’adversaire. Si c’est meilleur en face, il sera meilleur. On dit que la terre battue n’est pas la meilleure surface d’Andy, mais il est régulièrement en demi-finale ici, il fait partie des meilleurs joueurs du monde, on ne va rien découvrir vendredi.

Au moins, cette fois-ci, ce match aura bien lieu sur le Central. Comment avez-vous vécu le fait de devoir jouer sur le Lenglen en quarts de finale?
C’est une erreur entre nous et l’organisation. Le premier jour, je me suis dit «allons jouer sur le Lenglen», comme ça, ce sera réglé pour la suite, parce que «Rafa» préfère le Chatrier. Et puis il y eu les quarts de finale. Je voyais venir que Monfils allait jouer sur le Central, je comprends la logique pour les spectateurs français, mais un tournoi de cette catégorie, quand même, devrait faire en sorte que le numéro un mondial joue sur le meilleur court. Je ne pense pas que Wimbledon ferait ça à Federer.

Ca n’a pas influé sur les bonnes sensations de votre joueur?
Les sensations sont bonnes, c’est très bon sur les entraînements, notamment. Après, c’est toujours la même chose, les bonnes sensations ça ne suffit pas quand tu t’apprêtes à rencontrer les meilleurs joueurs du monde. Mais on est mieux qu’après Monte-Carlo et Barcelone, quand «Rafa» doutait beaucoup plus sur son niveau de jeu. Là, il sait qu’il est capable de faire un bon match s’il y a besoin.

Ressent-il plus de pression que d’habitude, après une saison de terre battue difficile?
Je vais vous dire une chose: la seule fois qu’on est arrivés ici après avoir gagné l’Open d’Australie, Rafael n’est pas allé au bout à Paris pour la première fois. Il n’y a pas plus de pression après avoir perdu à Melbourne ou à Monte-Carlo. On n’a pas plus de pression que Djokovic qui veut gagner Roland-Garros pour la première fois.

Une finale éventuelle face à Gulbis, ce serait mieux que Djokovic?
Gulbis serait un adversaire difficile à manier en finale, mais c’est sûr que Djokovic, pour «Rafa», c’est le rival le plus compliqué à affronter. Cela dit, c’est le plus compliqué pour tout le monde sur le circuit. Alors on verra.

ROLAND GARROS • NADAL POUR ÉCRIRE L'HISTOIRE
Par Gwendal Le Priellec, vendredi 06 juin 2014 à 11:21
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2005, 2006, 2007, 2008, 2010, 2011, 2012 et 2013. Les huit sacres de Rafael Nadal à Roland Garros. Soit autant de finales disputées Porte d'Auteuil. En l'emportant aujourd'hui contre Andy Murray, le numéro un mondial jouerait ainsi sa neuvième finale. Chose que personne avant lui n'a réalisé, dans aucun tournoi du tournoi du Grand Chelem ! Ivan lendl et Pete Sampras ont tous deux joués huit finales à l'US Open, comme Federer à Wimbledon, qui en a aussi disputé cinq en Australie. L'Espagnol n'est donc plus qu'à un match d'écrire un nouveau chapitre de sa très longue et belle histoire. Pour l'anecdote, il est déjà le premier à réussir un tel exploit pour les demi-finales, mais seulement à Roland Garros pour le coup !

 

DECLA • Toni Nadal n'a pas aimé le Lenglen
Par Gwendal Le Priellec, vendredi 06 juin 2014 à 10:52
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Un quadruple tenant du titre et octuple vainqueur du tournoi qui ne joue pas son quart de finale dans le plus grand stade de Roland Garros ? C'est ce qui est arrivé mercredi à Rafael Nadal, dont le match contre David Ferrer a été programmé sur le Lenglen. Une incompréhension totale pour Toni Nadal, oncle et coach du numéro un mondial, dont L'Equipe a recueilli les propos.

"Le Lenglen ? C'est mal pour nous. Je pensais qu'après y avoir joué le premier tour (contre Robby Ginepri), c'était fini. C'est une faute. C’est vrai qu’il y avait un Français en course. Mais un tournoi de ce prestige ne devrait pas tenir compte de ce paramètre. Le plus joli, c'est ce que fait Wimbledon. Le champion commence la défense de son titre sur le court central. Normalement, un quart de finale entre le n°1 mondial et le n°5, c'est pour le central. Ce n'est pas bien de l'avoir mis ailleurs."

Je suis déçue par l'attitude de Toni   , franchement un champion ça s'adapte à n'importe quel court et puis quelle importance un court franchement....si tu es vraiment humble tu acceptes de jouer sur un court sans problème....surtout que c'est pour un français qui joue devant son public...là j'avoue que ça me rend perplexe.....j'étais vraiment convaincue que l'humilité c'était leur marque de fabrique     ....enfin j'espère vraiment que Toni ne parle que pour lui et que Rafa ne pense pas comme lui....

Roland Garros • Djokovic au rendez-vous !
Par Gwendal Le Priellec, vendredi 06 juin 2014 à 15:50
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Novak Djokovic est de retour en finale à Roland Garros, après sa victoire contre Ernests Gulbis 6-3, 6-3, 3-6, 6-3. Un match globalement maîtrisé par le Djoker, qui aura aussi joué à se faire peur. Nadal ou Murray sera son ultime adversaire.

Novak Djokovic aura du puiser en lui-même et se faire violence pour conclure son match et l'emporter aujourd'hui. Alors que les deux premiers sets ont été très bien gérés par le numéro deux mondial, il a ensuite connu une baisse de régime significative au cours de la troisième manche. Idéal pour Gulbis afin de se se relancer. Le Letton, hors du coup dans le début de partie, commettant bien trop de fautes pour faire douter Djokovic, n'en demandait pas tant. Ne lâchant pas l'affaire, même mené deux sets à rien, Gulbis aura fait honneur à son statut de surprise du tournoi. Le match n'aura donc pas été à sens unique, tant le Serbe a paru hors du coup sur sa fin de match. Sa raquette explosée - ce qui lui vaudra les sifflets du public - au début du deuxième set peut en témoigner. Mais l'expérience et la rigueur du champion auront fait la différence en fin de match. 6-3, 6-3, 3-6, 6-3. Djokovic pouvait souffler, soulagé de sa victoire. Le revoilà en finale.

Un coup de mou inquiétant

Une victoire logique pour Djokovic mais elle fut plus dure à se dessiner que prévu. Le Serbe avait pourtant tous les ingrédients pour l'emporter, tant dans ses retours très bons que par la force de son service. Mais personne n'est à l'abri d'un passage à vide. Le coup de mou du Djoker serait-il dû à la chaleur, nouvelle invitée de la quinzaine ? Il serait bon pour le numéro deux mondial qu'il n'en connaisse pas d'autres dimanche, pendant la finale, ou les degrés seront aussi au rendez-vous. Quelque peu frustré et énervé pendant le match, le Serbe ne nous a pas habitués à pareilles scènes. Mais l'essentiel est là, avec cette qualification pour la finale, la deuxème à Roland pour Djokovic. Il n'est plus qu'à un pas de ce trophée qui lui manque tant. Seul Nadal ou Murray peuvent encore lui barrer la route.

Difficile de dire quoi que ce soit sur ce match soporifique   , c'est quand même Gulbis qui lui a offert le match sur un plateau.....il a mis du temps à rentrer dans le match et à lâcher ses coups, Gulbis il est comme Fabio c'est surtout dans la tête que ça se passe    , dommage et surtout c'est dommage car le spectacle n'a pas été beau....

DECLA • Gulbis : "J'en ai profité"
Par Paul-Hugo Bélanger, vendredi 06 juin 2014 à 16:58
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En conférence de presse, Ernests Gulbis a tiré un bilan de son tournoi de Roland Garros :

"J'ai bien aimé ces deux semaines. J'en ai profité. Après, elles ne se résument pas qu'à des émotions positives. Il y a aussi eu des moments de tension, de fébrilité. Quand je gagnais un match, je me sentais bien pendant une heure, puis je pensais directement au match suivant et la tension remontait. Maintenant ça y est, la tension est partie. Je ne suis pas content d'avoir perdu, mais il n'y a plus de tension, plus de match pendant quelques jours avant la saison sur le gazon. En tout cas, je maîtrise beaucoup mieux les matchs, la compétition qu'avant. La dernière fois, quand j'avais atteint les quarts de finale ici, je ne savais pas ce qui se passait. De même, il y a encore un an de cela, je me disais "peu importe, c'est un match". Là, je me rends compte de tout ce qui se passe. Je comprends bien mes émotions, mes sentiments. J'apprends beaucoup de tout cela. J'essaie d'en profiter, même si c'est parfois négatif comme genre d'émotions, puisqu'il n'est jamais agréable d'être fébrile, tendu. Mais j'essaie de comprendre comment tout cela fonctionne pour progresser et être meilleur la prochaine fois."

Bon c'est bien au moins il dit qu'il essaye d'apprendre de tout ça, le jour où il aura réglé tout ça il va être très dangereux

Roland Garros • Djokovic évoque son coup de moins bien
Par Stephane Monier, vendredi 06 juin 2014 à 16:02
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Novak Djokovic s'est exprimé à la sortie du court - à chaud -, au micro de Nelson Monfort. Il est revenu sur son coup de moins bien lors du troisième set.

" Un coup de moins bien ? Oui c’est normal ! Il y a des moments bons et moins bons, mais j’ai gagné cette partie, c’est la fin qui est importante, je continue à jouer pour des victoires comme ça. "

Insolites • Gulbis, un cigare et c'est tout !
Par Paul-Hugo Bélanger, vendredi 06 juin 2014 à 17:02
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En conférence de presse, un journaliste a demandé à Ernests Gulbis s'il comptait fêter son excellent tournoi de Roland Garros, et si oui, comment.

"Une demi-finale, ce n'est pas suffisant pour que je fasse une fête. Pour célébrer, j'ai besoin de plus que cela ! Je suis accro au succès, à la réussite. J'étais tellement proche… C'est super pour moi d'être arrivé en demi-finale, mais je dois franchir encore une marche, voire deux. Je suis encore plus motivé maintenant. Donc non, je n'ai pas prévu de célébration particulière. Maintenant, je vais peut-être quand même fumer un petit cigare avec mon entraîneur (Rires). C'est tout, c'est le seul vice qu'il me reste aujourd'hui !"

    

ATP • Djokovic, 13, c'est porte-bonheur ?
Par Rémi Cap-Vert, vendredi 06 juin 2014 à 16:14
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Mine de rien, Novak Djokovic va disputer sa 13ème finale de Grand Chelem, sa deuxième seulement à Roland Garros. 13, c'est trois de plus que Boris Becker, son coach. Mais c'est également plus que John McEnroe, qui s'est arrêté à 11. Il reste encore loin de Roger Federer, 24, ou Rafael Nadal, 19. Mais il revient sur Jimmy Connors ou Andre Agassi, 15. Impressionnant, à 27 ans !

Roland Garros
Thibaut Melin - Publié le 06/06/2014
NADAL EN PLEINE DÉMONSTRATION !
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Rafael Nadal (N°1) n'a connu aucun souci ce vendredi pour se qualifier pour sa 20ème finale de sa carrière en Grand-Chelem. Le Majorquin a littéralement pulvérisé Andy Murray en trois tout petits sets (6/3 6/2 6/1). Pour sa 9ème finale à Roland-Garros, il affontera dimanche le Serbe Novak Djokovic.

C'est une véritable leçon qu'a donné ce dimanche Rafael Nadal (N°1) à Andy Murray (N°7) lors des 1/2 finales de Roland-Garros. Le Majorquin s'est véritablement baladé sur le court, et s'est imposé très facilement en trois sets expéditifs (6/3 6/2 6/1). Il n'a pas eu à forcer son talent face à un Britannique totalement inoffensif du début à la fin, qui n'a jamais pu rivaliser avec le n°1 mondial, passant totalement à côté de son match physiquement et mentalement. Une performance très étonnante de la part de Murray, dont le langage corporel très négatif en disait long sur sa performance du jour. Le Britannique avait pourtant, sur le papier, les armes pour venir se frotter au tenant du titre. Mais la pression de l'évènement, ou sa douleur au dos (?), l'ont totalement crispé.  En face, l'Espagnol à déroulé tranquillement son jeu, pour rallier sa 20ème finale de Grand-Chelem en carrière, la 9ème à Roland-Garros où il n'en a jamais perdu. On aura donc droit au duel tant attendu entre Nadal et Djokovic pour le titre.

Un match à sens unique

Difficile d'analyser cette rencontre, tant il n'y a pas eu photo aujourd'hui entre Nadal et Murray. Les trois sets ont été à peu près identiques, et surtout totalement à sens unique. En témoigne la différence de points marqués par les deux joueurs sur l'ensemble de la rencontre : 83 pour Nadal, 43 pour Murray. Le Britannique a été complètement dépassé, en particulier sur le service du Majorquin. Avec 17% de points marqués sur retours (seulement 10 sur 59), l'Ecossais a laissé l'Espagnol prendre le jeu à son compte sur tous les échanges, et pendant toute la rencontre. Un fait très étonnant quand on connaît l'arsenal technique de Murray, largement capable de changer son jeu en fonction de son adversaire. Mais ce vendredi, il s'est fait marcher dessus par le patron des lieux. Une performance qu'il devra absolument oublier pour se relancer, avec le début de la saison sur gazon à venir. Pour l'Espagnol en revanche, il n'y aura normalement pas de fatigue en plus pour la finale de dimanche, tant le Majorquin s'est promené aujourd'hui.

Super Rafa est en finale    par contre Nadal en démonstration   , franchement c'est Andy qui n'a pas joué, difficile de ne pas être en démonstration dans ce cas. Une demie tout aussi ennuyante et sans intérêts que la première   , heureusement que je n'ai pas acheté de places pour voir ça  , le pauvre public il a même dû faire une hola pour essayer de se réveiller après deux maths soporifiques   , le côté positif c'est que Rafa ne s'est pas fatigué   , ceci dit Nole non plus, comme ça au moins ils sont à égalité   

Quand au niveau de Rafa les journalistes s'extasient mais alors moi je ne comprends pas trop, les premiers matchs il n'a eu aucun adversaire vraiment à la hauteur, ensuite il y avait Ferrer et Murray qui eux sont censés être à la hauteur et là les deux n'ont pas joué donc facile pour Rafa de survoler. D'ailleurs quand Ferrer a bien joué dans le premier set, Rafa était à la ramasse.....donc Est-ce que Rafa est en terme de jeu au niveau de Nole, mystère...par contre au niveau mental il est présent et ça c'est très important     

Roland Garros • Djokovic : "Contre Nadal, je dois y croire, et j'y crois !"
Par Paul-Hugo Bélanger, vendredi 06 juin 2014 à 18:38
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C'est le visage légèrement rougi par le soleil que Novak Djokovic s'est présenté face à la presse. Reconnaissant avoir eu un petit coup de fatigue lors de son match face à Gulbis, la faute notamment à la chaleur ressentie sur le court, le Serbe s'est tout de même montré rassurant à deux jours de la finale contre Nadal. Interview.

Novak, comment vous êtes-vous senti sur le court cet après-midi ?
Dans les deux premiers sets, je me sentais vraiment bien. Je jouais bien, j'étais solide, je rameais beaucoup de retours dans le court et j'avais un bon pourcentage de premiers services. Par la suite, j'ai ressenti un peu de fatigue physique. Je crois d'ailleurs que cela s'est vu. Ce sont des choses qui arrivent dans un tournoi… L'important sur le moment était de prendre conscience de ce qui se passait, de bien réagir et d'essayer de récupérer. Je n'ai rien eu de spécial, pas de douleur particulière, juste une sensation de fatigue générale, probablement engendrée par les conditions très chaudes qu'il y a eu aujourd'hui. Mais je ne vais pas parler de ça plus longtemps. Je suis ravi d'avoir gagné en quatre sets parce qu'on ne sait jamais ce qui peut se passer dans un cinquième. Je vais maintenant me reposer ce soir puis essayer de ne pas dépenser trop d'énergie sur le court demain afin d'être prêt pour la finale dimanche.

Quel impact les conditions chaudes et ensoleillées ont-elles eu sur votre jeu aujourd'hui ?
Cela requiert un peu d'ajustement car on a joué dans des conditions humides, lourdes et plutôt fraîches ces quinze dernier jours. La balle ne rebondissait pas autant. Il a donc fallu s'ajuster. Et puis le soleil qui tape comme aujourd'hui, ça fatigue aussi forcément un peu plus.

Allez-vous adopter une approche tactique différente demain pour battre Nadal ? Qu'allez-vous mettre en place pour essayer de lui ravir le titre pour la première fois ici ?
Il n'y aura pas de différences significatives dans la tactique que je vais adopter demain par rapport à celle que j'ai utilisée dans nos matchs précédents, comme la finale de Rome il y a 3 semaines. Je veux être agressif, car c'est le seul moyen de le battre. Il n'a perdu qu'une seule fois ici, c'est le tournoi où il joue véritablement le mieux. En plus, le Central ici est très grand et il s'y sent encore mieux qu'ailleurs parce qu'il a beaucoup d'espace pour défendre. Maintenant, on a eu des matchs de grande qualité, et surtout très serrés ici par le passé. L'an dernier, je sers pour mener 5-3 dans le cinquième set. Savoir que j'étais si près me donne la croyance que je peux le battre ici. Je sais ce que j'ai à faire pour y parvenir. C'est difficile, bien sûr, mais Rafa n'est pas imbattable. Et puis, l'avoir battu lors de nos deux dernières finales (Ndlr, à Miami et Rome), dans deux gros tournois, me permet de croire vraiment que je peux le faire.

Vous n'avez jamais gagné ici. Cela ajoutera-t-il du stress lors de la finale dimanche ? Comment allez-vous le gérer ?
Bien sûr ce sera stressant, mais pas tant que cela finalement. Vous savez, chaque année, j'acquiers de l'expérience et j'appréhende ainsi un peu mieux à chaque fois ce genre de situation psychologiquement. Bien sûr, il y aura de la pression et des attentes dimanche. C'est normal. Mais je vais essayer de canaliser cette énergie et même de la transformer en énergie positive, afin de ne pas me laisser submerger par la pression. Je vais vraiment tout faire pour soulever le trophée dans deux jours, sur ce Central de Roland Garros où je n'ai jamais gagné. Je dois y croire, je dois essayer de gagner. J'y crois.

Rafael Nadal a battu Andy Murray très facilement aujourd'hui. Cela vous surprend-il ?
J'ai un peu regardé le match tout à l'heure. Je ne suis pas si surpris que cela du résultat. On sait tous à quel point Rafa peut être bon sur ce court. Il a élevé son niveau de jeu au fil du tournoi et il commence à se sentir très, très fort. Comme cela lui arrive souvent ici, il monte en puissance au fil des matchs et retrouve son meilleur niveau pour la fin du tournoi. Dimanche, il sera favori, c'est certain. Mais j'ai bien joué dernièrement et ma victoire en finale à Rome contre lui me donne beaucoup de confiance et me permet de vraiment croire en mes chances.

La météo annonce 32°C dimanche… A quelles conditions vous attendez-vous ?
Je m'attends à une journée ensoleillée (sourire) ! Je vais me préparer pour ce match du mieux que je peux, mais je ne peux pas prédire le résultat. La seule chose que je peux contrôler, c'est ma préparation et mon jeu. Je vais donc me concentrer là-dessus.

Pouvez-vous nous parler du challenge physique que représente une finale face à Nadal ?
Il est vrai que le physique est un facteur très important dans nos matchs. Dimanche, je sais que je vais affronter un grand combattant qui joue chaque point comme une balle de match. Ce sera très exigeant physiquement, mais je suis prêt pour ça. J'ai certes eu un match compliqué aujourd'hui, mais j'ai un jour-off demain pour bien récupérer et me préparer. Ce n'est pas la première fois que j'ai à gérer ce genre de situations. Je sais donc comment m'y prendre. Je vais me préparer avec toute mon équipe tant sur les plans tactique que physique et tennistique. Le but étant de pouvoir donner le meilleur de moi-même dans deux jours.

Bonne nouvelle, dimanche il fait chaud et donc la balle rebondit plus et ça c'est bien pour le jeu de Rafa et son lift  

DECLA • Nadal : "Mon meilleur match de la saison sur terre"
Par Rémi Cap-Vert, vendredi 06 juin 2014 à 18:47
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Rafael Nadal est venu débriefer sa victoire sur Andy Murray en conférence de presse. Le Majorquin était très satisfait, notamment de son coup droit. Et il a même souri, lui qui en est généralement plutôt avare ! Bref : une bonne journée pour le numéro un mondial.

"J'ai vraiment très bien joué avec mon coup droit. J'ai été très performant sur mes premiers coups, avec ce coup droit. C'est simplement la résultante de mes bons entraînements, de mon travail au quotidien. [...] C'est vrai que j'ai perdu quelques matches ces dernières semaines que je n'aurais pas perdu avec le niveau que j'ai eu aujourd'hui. Mais j'ai été capable de m'améliorer. Après, le problème, c'est aussi l'histoire... J'ai gagné à Madrid, j'ai été en finale à Rome, en quarts à Monte Carlo et je suis en finale à Roland Garros. Pour n'importe qui, ce serait des résultats positifs. [...] J'ai joué probablement mon meilleur match de la saison sur terre aujourd'hui, donc je suis heureux. Et heureux d'être à nouveau en finale, à Roland Garros."

Les résultats du vendredi 6 juin 2014

Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le programme de samedi

Court Philippe Chatrier
A partir de 15h
Maria Sharapova (RUS) [7] - Simona Halep (ROU) [4]
Suivi de
Marcel Granollers (ESP) [12]/Marc Lopez (ESP) [12] - Julien Benneteau (FRA) [11]/Edouard Roger-Vasselin (FRA) [11]

Roland Garros • Nadal : "Contre Djokovic dimanche, tout peut arriver"
Par Paul-Hugo Bélanger, vendredi 06 juin 2014 à 20:26
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Vainqueur express d'Andy Murray en demi-finales de Roland Garros, Rafael Nadal est venu débriefer son match en conférence de presse. Décochant même quelques sourires, le tenant du titre s'est dit très satisfait de son niveau de jeu du jour. Il se projette également sur sa finale de dimanche face à Novak Djokovic.

Avez-vous déjà mieux joué qu'aujourd'hui cette saison ?
Je le disais l’autre jour, je m’entraîne beaucoup mieux qu’avant, cela explique le résultat d’aujourd’hui, non ? Normalement, quand on joue bien à l'entraînement, on est capable de le reproduire en match. C’est ce que j’ai fait aujourd’hui. J’ai mieux joué que précédemment. C’était important de servir comme je l'ai fait aujourd’hui face à un joueur comme Andy qui relance très bien. Il a d'ailleurs fait plus d’erreurs que d’habitude au retour. C’est vrai aussi que j’ai passé beaucoup de premières et que mon coup droit a été très bon. J'ai notamment pu le frapper dans de bonnes conditions après mon premier service, et même en enchaîner plusieurs performants d'affilée ce que je n'arrivais pas à faire il y a encore un mois.

En 15 jours, depuis votre match contre le même Murray à Rome, vous avez vraiment progressé. C'est le fait de venir à Paris qui vous a aidé ?
Les conditions à Rome étaient totalement différentes de celles d'aujourd'hui. À Rome contre lui, j'ai eu un déclic : à partir de ce match, j'ai commencé à jouer de façon positive   . Il y a eu un vrai changement de dynamique. Je vais vous dire quelque chose : à Paris cela fait certes 8 fois que je gagne, mais la quantité de matches que j'ai bien joués à Paris a été inférieure à celle de Rome ou Monte-Carlo. Le fait de revenir à Paris, ce n'est donc pas en soi quelque chose qui m'aide. Maintenant, il est vrai que lorsqu'on sent que, semaine après semaine, on progresse, forcément, d'un point de vue mental, on se sent dans une dynamique positive. Cela a été le cas lors de toute la saison sur terre battue. Maintenant, on verra ce qui se passera dimanche, ce sera un match complètement ouvert. Tout peut arriver.

Qu'est-ce qui s'est concrètement amélioré dans votre jeu ?
Mon coup droit. Sur les premières semaines de la saison sur terre, je ne réussissais pas de coups gagnants en coup droit. Je faisais beaucoup de fautes, mon placement n'était pas toujours très bon. J'étais plus anxieux aussi. C'était des sensations tout à fait nouvelles pour moi, sur terre battue. Je ne réussissais pas à retrouver mon jeu sur terre battue. Je jouais, mais j'avais l'impression de toujours répéter les mêmes erreurs en coup droit comme en revers, de ne pas bien défendre et de ne pas bien me placer sur le court. Bref ! C'étaient des sensations tout à fait bizarres pour moi, des sensations qu'il a bien fallu que j'accepte et sur lesquelles j'ai dû travailler. Mais, parfois, c'est la loi du sport, il faut faire des efforts, se battre pour progresser et trouver des solutions à ses problèmes.

Djokovic n'a jamais gagné à Paris. Pensez-vous donc que son immense faim de victoire pourrait vous poser problème dimanche ?
Djokovic a eu énormément de résultats très positifs ici. Ce n'est pas une surprise que de le retrouver en finale. Il a la motivation de gagner ce titre pour la première fois de sa carrière, c'est évident. En même temps, il a aussi la pression qui va avec cette quête d'une première victoire. De mon côté, j'ai aussi la motivation, car je veux gagner ce match. Je ne vois pas de grosses différences, on aura la même motivation en entrant sur le court. Je vais y entrer avec la même pression que lui, même si on est dans une situation différente. Je ne sais pas si cela va avoir un impact important sur le match. On verra lequel de nous deux jouera le mieux.

Vous avez perdu à Rome contre Novak en finale. Vous en êtes même à 4 défaites d'affilée contre lui. Cela aura-t-il un impact sur votre mental dimanche ?
Tous les faits peuvent avoir une incidence sur le mental lors des matches. Certes, Novak peut tirer avantage de cette historique récent, mais, de mon côté, je serai très préparé. Je me suis bien préparé ces derniers jours et je vais continuer à le faire. Je pense qu'il faudrait que mon retour s'améliore encore un petit peu. Si aujourd'hui, j'ai réussi à mieux frapper en revers, je sais aussi qu'il faudrait que je sois un peu plus patient et que j'arrive à me relâcher sur ce coup. Car lorsqu'on me met beaucoup de pression de ce côté-là, je me précipite parfois un peu trop. Sinon, mon coup droit va très bien, il est très rapide, j'en suis très content. On verra bien ce qui se passera dimanche. Mais c'est vrai que ces 4 défaites consécutives auront un impact. Maintenant, j'espère qu'il ne sera pas décisif.

Très intéressant ce que nous dit Rafa, pour une fois qu'il développe bien les choses au lieu de toujours dire "je dois jouer mon meilleur tennis"     

  merci