STAN WAWRINKA (Suisse)

 

INSOLITES • WAWRINKA RÉPOND À MAHUT
Par Romaric Haddou, mardi 01 avril 2014 à 20:12
http://www.welovetennis.fr/insolites/81899-wawrinka-repond-a-mahut

On le sait, Nicolas Mahut et Stanislas Wawrinka entretiennent d’excellentes relations. Jamais avares d’un petit gazouilli acide, les deux joueurs se renvoient régulièrement la balle sur Twitter. Récemment, le Français promettait d’envoyer à Stan une photo d’un court annexe, lui qui joue maintenant dans les grandes enceintes. Au Suisse donc de mentionner Mahut. Cette fois il est question d’un pari perdu, d’un homme qui applaudit en faisant des pompes et, accessoirement, d’un canapé rembourré en guise de chaise. Ca bosse dur à Genève.



  

  

Severin Lüthi, capitaine de l'équipe suisse de Coupe Davis compare Stanislas Wawrinka et Roger Federer en dehors du court
Severin Lüthi
Publiée le 1 avr. 2014 par We Are Tennis par BNP Paribas

Nicolas Giannino - Publié le 11/04/2014
Wawrinka de plus en plus sollicité
http://www.tennisleader.fr/atp/wawrinka-de-plus-en-plus-sollicite

Grâce à un début de saison extraordinaire avec une victoire à l'Open d'Australie, Stanislas Wawrinka est devenu la coqueluche des médias et des marques. Le Suisse multiplie en effet les shootings photos, comme on peut le voir ci-dessous, et les appartitions en public afin de promouvoir les produits ou les services avec lesquels il s'est engagé. Côté sportif, le N°3 mondial prépare lui aussi sa saison sur terre battue qu'il va démarrer avec le Masters 1000 de Monte-Carlo dès la semaine prochaine.

 

ATP - MONTE CARLO • WAWRINKA: PRO FEDERER
Par Jérémy Alen, dimanche 13 avril 2014 à 14:46
http://www.welovetennis.fr/atp-monte-carlo/82339-wawrinka-croit-en-federer

Stanislas Wawrinka est un vrai régal lors d'un média day. Sympathique, heureux, à l'aise dans ses baskets, il répond avec un vrai détachement et ne rechigne pas à la tâche comme c'est souvent le cas pour certains champions. Sur le cas Roger Federer, le Suisse a livré cette analyse: "Roger a retrouvé de la confiance et en finale à Indian Wells il est tout près de faire tomber Djokovic. Je sais que sa nouvelle raquette lui a apporté beaucoup, et quand en plus, Roger est "fit" il peut être très dangereux. Il est revenu à un superbe niveau, je l'ai encore vérifié le week-end dernier en Coupe Davis, maintenant une période un peu spéciale s'annonce pour lui dans sa vie privée, et cela peut avoir une influence sur son mental..

ATP • WAWRINKA : "LA COUPE DAVIS M'A FAIT DU BIEN"
Par Simon Alves, mardi 15 avril 2014 à 12:29
http://www.welovetennis.fr/atp/82410-wawrinka-la-coupe-davis-m-a-fait-du-bien

Stanislas Wawrinka va-t-il repartir sur les bases de 2013 et de son titre à Melbourne ? C'est tout ce que l'on souhaite au Vaudois, mais cela passera par de bonnes performances à Monte-Carlo et sur terre battue. Le Suisse entend d'ailleurs s'appuyer sur le comeback de la Suisse contre le Kazakhstan il y a deux semaines pour embrayer. Ses propos relayés par le Matin.

"En fait, elle (ndlr : la qualification en Coupe Davis) m’a fait beaucoup de bien. C’était essentiel de gagner cette rencontre, et la façon dont elle s’est déroulée sera très positive pour le reste de la saison. Mais, oui, j’ai fait deux mauvais jours, on perdait 2 à 1, et j’ai reçu toutes les critiques possibles. Tout le monde a alors voulu me dire quoi changer, etc. Mais, non, je fais comme j’ai toujours fait. Ma carrière va à son rythme, comme je le sens, et, à la fin, combien ont gagné un Grand Chelem durant les dix dernières années hormis le top 4? Eh bien, deux: Del Potro et moi. Donc on peut dire ce que l’on veut, le résultat est là."

Insolites • Coria cadet s’entraîne avec Wawrinka
Par Stephane Monier, vendredi 09 mai 2014 à 15:57
http://www.welovetennis.fr/insolites/83435-coria-cadet-sentrane-avec-wawrinka

Federico Coria, le petit frère de l'illustre joueur de terre battue, Guillermo Coria, s’entraînait ce matin avec Stanislas Wawrinka... Le cadet s'est fendu d'un tweet et d'une belle photo entre deux échanges.



Je ne savais pas que Coria avait un petit frère, j'espère qu'il n'a pas le même caractère que son grand frère   

Appelez-le "Stan" Wawrinka
http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Appelez-le-stan-wawrinka/465864

Eliminé en huitième de finale du tournoi de Rome, Stanislas Wawrinka n'a pas pour autant perdu sa semaine. Le Suisse, n°3 mondial, aurait demandé à l'ATP de l'appeler désormais "Stan".

bon pourquoi pas mais c'est bizarre comme demande   

Interviews • Stanislas Wawrinka : "Cette édition de Roland Garros sera très ouverte"
Par Rémi Cap-Vert, mardi 20 mai 2014 à 23:32
http://www.welovetennis.fr/interviews/83901-stanislas-wawrinka-cette-dition-de-roland-garros-sera-trs-ouverte



Il est l'homme fort de ce début de saison. Celui qui a su renverser Rafael Nadal, Novak Djokovic, mais aussi battre son illustre compatriote, Roger Federer. Stanislas Wawrinka a d'ores-et-déjà marqué cette année au fer rouge. Rencontre avec un bourreau de travail, simple, humble, mais sûr de ses forces.


Comment as-tu vécu ta nouvelle notoriété, suite à ton succès à l'Open d'Australie ?
Très bien ! En fait, j'apprécie surtout cette situation car c'est le fruit de mes résultats sur le court. Évidemment, cela change beaucoup de choses et j'ai dû modifier ma façon de gérer mon programme.

Qu'est-ce qui a le plus évolué : le regard des gens ou l'attente du public ?
Les deux. Les attentes sont logiquement plus importantes, les sollicitations des médias plus nombreuses. Et, en même temps, mon succès en Australie m'a donné beaucoup d'ambition. D'autant qu'il y a pas mal de belles échéances à venir, comme la Coupe Davis, par exemple. Avec Roger (Federer) dans l'équipe, je sais qu'on peut viser très haut.

Vous allez jouer l'Italie. Je crois savoir que tu avais eu une idée pour recevoir Fognini et sa bande...
Bien sûr ! (Rires, ajoutant ironique On avait vraiment envie de faire cette rencontre à Lugano (NDLR : en Suisse italophone), sur terre battue extérieure, histoire de mettre toutes les chances de notre côté (rires) !

Ici, on rêve tous d'une finale France-Suisse. Vous en avez parlé avec Roger Federer ?
Oui, dès le début de saison, quand on a vu le tirage au sort. J'en ai aussi discuté avec mes amis français... On y pense forcément, mais la route est longue et, en Coupe Davis, tout peut arriver sur un week-end. C'est ce qui fait le charme de cette compétition historique.

D'autant qu'à l'instar de la France, vous n'avez pas vécu un quart de finale aussi tranquille que prévu...
Sur le papier, ça devait l'être. Mais je n'ai pas trop eu peur pour la France, même quand vous étiez mené deux à zéro. Vous restiez favoris, selon moi. De notre côté, ce succès plus que difficile à obtenir va nous donner encore plus de confiance...

La confiance... On sait que c'est la clef, mais comment tu l'acquiers ?
La confiance, elle met du temps à venir et elle repart assez vite, on le sait tous. La grosse difficulté, au tennis, c'est de parvenir à la garder. Moi, pour tenter de l'apprivoiser, je m'appuie sur ce que je fais en-dehors des matches, les bons entraînements, la qualité de ma condition physique. Enfin, je me fixe toujours des objectifs sur le long terme pour éviter d'être impatient ou de rechercher vainement un truc qui serait censé me faire progresser d'un seul coup.

Il faut donc garder une ligne directrice...
Oui, c'est cela, ne pas tout remettre en cause après une défaite. Ce n'est pas parce que je perds un match que je vais changer de cordage, de raquette, ou me dire que je ne suis pas dans le vrai. Il faut toujours avoir en tête une vision à long terme, c'est essentiel.

Le circuit s'est attaqué à la terre battue depuis quelques semaines, maintenant. Toi qui as gagné à Monte-Carlo, j'imagine que c'est une surface que tu apprécies...
Bien évidemment ! Je sais que je peux très bien jouer sur l'ocre. Si je suis en forme physiquement, j'ai les moyens de faire de grandes choses.

A Roland Garros ?...
Je ne fonctionne pas comme cela. Ce serait trop simple. Je sais juste que, si ma préparation est bonne et que je suis en confiance, je peux être très dangereux à Roland.

C'est un rêve de gagner là-bas ?
Sans manquer d'humilité, je ne dirais pas que j'en rêve, car je sais aussi, aujourd'hui, que je suis capable de gagner un tournoi du Grand Chelem. Je l'ai déjà fait.

Tu as battu Novak Djokovic et Rafael Nadal en Australie. Est-ce que tu crois que tu peux rééditer cette performance à Paris ?
Sur terre battue, c'est certain que c'est encore plus difficile, surtout face à Rafael Nadal. Mais si je veux arriver à le battre, lui ou Djokovic, il faudra que j'aborde ces matches comme en Australie. Rafael Nadal est plus rapide sur terre, par exemple, mais ma puissance physique, mes frappes lourdes et ma capacité à tenir le rythme sur des rallyes sont de vrais atouts face à lui. Je n'ai pas peur des filières longues et, sur terre battue, c'est un point décisif.

Si tu devais faire un choix entre Novak Djokovic et Rafael Nadal...
Rafa garde l'avantage, car il a répété les exploits à Roland Garros, donc il sait ce qu'il doit faire. Novak, lui, sait qu'il a ses chances, cette année, mais, en même temps, il a une grosse pression, car il ne s'y est jamais imposé. C'est pour cela que cette édition sera très intéressante, très ouverte. Selon moi, il faudra prendre des indices dans les premiers tours qui ne sont pas anodins chez ce type de joueurs ; ils permettent soit d'arriver en super forme pour les grands duels, soit de se présenter avec un peu de fébrilité.

On sait que tu es proche de Roger Federer. Comment tu le sens, cette année ?
Roger est revenu à un très bon niveau. A Indian Wells, par exemple, il était tout près de remporter le titre face à Novak. Je pense que sa nouvelle raquette lui a fait beaucoup de bien. Il peut mettre plus d'effet, par exemple. Et puis, quand Roger est « fit », prêt physiquement, il peut être très dangereux sur n'importe quelle surface. Reste qu'il va avoir beaucoup de changement dans sa vie privée, donc cela peut avoir des conséquences sur sa concentration également.

Stanislas Wawrinka, Roger Federer, Roland GarrosIl t'a donné des conseils pour gérer l'après Open d'Australie ?
Oui, on en a parlé dans la foulée. Mais, à vrai dire, je veux gérer la chose à ma façon. Même si, je le répète, ce sont de jolis problèmes dont je ne vais pas me plaindre. De toute façon, je suis quelqu'un d'assez tranquille. J'ai 29 ans et 10 ans de carrière derrière moi. Ce n'est pas comme si cela m'arrivait alors que j'avais 20 ans.

En 1974, Björn Borg signait sa première victoire à Roland Garros. On va fêter, cette année, les 40 ans de ce succès. C'est un joueur qui te parle ?
Il a été un énorme champion. Néanmoins, je dois bien avouer que ce n'est pas cette génération que j'ai suivie à la télévision. On ne peut donc pas dire que je sois un grand fan, même si j'ai énormément de respect pour ce qu'il a accompli.

Les spécialistes expliquent souvent que Björn Borg est le champion qui a changé la manière d'aborder le tennis, en ayant une attitude hyper-professionnelle, un regard sur l'entraînement physique, technique, le matériel aussi...
C'est vrai, c'est un avis que j'ai déjà entendu et cela ne m'étonne pas. Je sais qu'il avait une discipline de fer, qu'il ne sortait pas comme le faisaient les autres joueurs. Mais il faut bien avouer que, lorsqu'on voit les images, il s'agit presque d'un autre sport.

Tout a évolué, notamment le matériel...
Exactement, c'est logique, cela fait partie de l'évolution du sport en général. C'est pareil quand on regarde les matches de football des années 70. Il y avait beaucoup moins de vitesse ou de pressing. Au tennis, on peut faire la même analyse. Aujourd'hui, tout va plus vite, mais on a aussi beaucoup moins de temps pour s'organiser et prendre une décision.

Björn Borg s'entraînait beaucoup ; tu as l'air, toi aussi, de considérer que c'est primordial...
C'est la base de tout et c'est pour cela que je ne lâche rien à l'entraînement, que je me mets dans des conditions optimales.

On a eu la chance de voir un de tes entraînements, à Monte-Carlo, avec Rafael Nadal. C'était presque plus impressionnant qu'en match, tant vous vous donniez à fond...
C'est bien pour cela que j'aime taper avec Rafael Nadal, on est dans le même état d'esprit. C'est cela qui nous permet de progresser. De toute façon, avec lui, on n'a pas le choix ; si on veut être à la hauteur, il faut mettre la même intensité sur chaque balle. J'adore m'entraîner avec lui, car je suis obligé de chercher des solutions en étant constamment sous pression. Cela me permet de progresser – et c'est ce que je recherche en permanence.

Et sa balle, à Rafa, parlons-en...
En fait, ça gicle beaucoup, elle a énormément d'effet. Elle vient vite, c'est certain, mais, surtout, elle accélère encore un peu après le rebond. Elle tourne tellement qu'elle fait partir ta raquette en arrière assez violemment. Il faut donc pouvoir bouger très rapidement et déclencher son geste très tôt. Si Novak Djokovic parvient bien à contrer Rafa, c'est grâce à son timing, avant tout, qui lui permet de couper son effet et d'utiliser la puissance adverse.

Très intéressant   

J'ai bien rigolé    , il est vraiment très sympa Stan   

   j'ai bien ris aussi

Insolites • Pas de festival pour Wawrinka
Par Gwendal Le Priellec, mardi 17 juin 2014 à 13:41
http://www.welovetennis.fr/insolites/86088-pas-de-festival-pour-wawrinka

Stanislas Wawrinka est un homme heureux. Vainqueur de son premier tournoi du Grand Chelem en Australie, le Suisse a fait le bonheur des siens. A tel point que le maire de Saint Barthélémy, la commune où il réside, a voulu organiser un festival en l'honneur du champion ! Très touché par cette idée, Wawrinka a cependant refusé, comme il l'a expliqué dans une interview pour The Independant.

"J'ai apprécié le geste, mais c'est un peu fou. Quand je rentre à la maison, je veux juste être avec ma famille." Peut-être devrons nous attendre un deuxième titre en Grand Chelem pour voir apparaître ce festival...

Il a bien raison     

 oui bonne décision

ATP
Thibaut Melin - Publié le 18/06/2014
Wawrinka très souffrant
http://www.tennisleader.fr/atp/wawrinka-tres-souffrant


Victime d'un malaise lundi dernier, Stanislas Wawrinka est actuellement cloué au lit après un épisode de forte fièvre. On rappelle que le n°3 mondial n'a pas pu participer hier mardi à un évènement pour son sponsor, et a été remplacé par Gaël Monfils. En revanche, le n°1 Suisse n'a jamais été hospitalisé (comme l'indiquait le quotidien "Blick") et a juste reçu des soins dans son domicile londonnien. Sa participation pour Wimbledon n'est pas encore compromise, même si sa préparation est nettement écourtée.

  ça s'annonce pas très bien pour Stan

ATP • Wawrinka va "mieux"
Par Rémi Cap-Vert, mercredi 18 juin 2014 à 15:01
http://www.welovetennis.fr/atp/86162-wawrinka-va-mieux

Des nouvelles de Stanislas Wawrinka ! Le Suisse a posté un message rassurant sur Twitter, après avoir été victime d'un malaise lundi. "Je suis content de me sentier un peu mieux aujourd'hui et j'espère être prêt à temps pour Wimbledon !"

ATP • WAWRINKA: "PRÊT POUR LES DERNIERS MOIS"
Par Clément Gielly, vendredi 25 juillet 2014 à 17:55
http://www.welovetennis.fr/atp/88060-wawrinka-prte-pour-les-derniers-mois

Absent du tournoi de Gstaad cette année, Stanislas Wawrinka est passé faire un tour sur les courts suisses aujourd'hui. Interviewé par les organisateurs, il montré qu'il se tenait prêt pour la fin de la saison. 

"J'ai besoin d'être prêt pour les derniers mois de la saison. C'est une longue série de matches et ça sera dur. Ça sera un autre grand challenge. J'essaye de rester en forme et de tout faire pour ne pas être blessé. J'ai eu dur repos et c'est important. Je travaille aussi avec mon entraîneur physique mais pour l'instant pas beaucoup sur le court." 

INSOLITES • WAWRINKA S'EST FAIT UN NOUVEAU POTE...
Par Rémi Cap-Vert, mardi 29 juillet 2014 à 14:42
http://www.welovetennis.fr/insolites/88183-wawrinka-s-est-fait-un-nouveau-pote

Mais c'est qu'il est meuuuugnon ton nouveau copain, Stan ! Et oui, en attendant de faire son retour sur les courts la semaine prochaine, à Toronto, Wawrinka profite de ses derniers instants de quiétude en Suisse. Malheureusement, faudra laisser Jolly Jumper à l'écurie pour traverser l'Atlantique... Au boulot, Stan !